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Mardi 12 février 2 12 /02 /Fév 11:34

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Mardi 12 février 2 12 /02 /Fév 11:07

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Par ben - Publié dans : Les bds adulte
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Mardi 12 février 2 12 /02 /Fév 11:04

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Par ben
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Lundi 11 février 1 11 /02 /Fév 15:20

Pour commencer je souhaite dire que cette histoire qui est vraie n'est pas la mienne, c'est celle de ma Maîtresse actuelle, je vous livre un premier récit à sa demande.

Préambule.

Cette histoire débute au printemps 2005, j’étais mariée avec Fabrice depuis 8 ans, notre couple s’enlisait depuis un certain temps déjà dans la routine, nos rapport étaient de plus en plus rare et de plus en plus court, bien que je ne me soie jamais refusée à mon mari, cette situation ne me dérangeait pas de trop, je n’étais jusque la pas trop accro au sexe. J’avais toujours refusée à Fabrice la sodomie, et il m’arrivait parfois de lui faire une fellation. Mais pour cela il devait souvent lourdement insister. Je n’avais jamais vraiment pris mon pied que ce soit avec mon mari ou avec n’importe quel autre homme.

Bien que pendant longtemps j’ai refusé de me l’avouer, j’ai toujours été attirée par les femmes, j’avais vécu lors de mon adolescence quelques attouchements un peu poussés avec Lucie ma meilleure amie de l’époque. Mais faire un coming-out était hors de question pour moi, qu'en aurait pensé mes amis et ma famille ? Je sais que mon père était bien trop borné pour comprendre cela. C’était un peu par dépit et surtout parce qu'il avait une assez bonne situation et qu'il avait toujours été très charmant avec moi que je m’étais mariée avec Fabrice.

J’avais des doutes depuis un certain temps sur la fidélité de mon mari, mais aucune preuve, ce n’était pourtant pas faute d’avoir cherché en fouillant ses poches et son mobile. Lors de nos disputes il m’arrivait de lui dire « Je suis sure que tu as une maîtresse », mais il n’avoua jamais rien.

Je me prénomme Sandra à ce moment la de l’histoire j’avais 31 ans, une brunette cheveux mi-longs ondulés et yeux bleus 170 cm pour environ 80 kg, une poitrine plus que généreuse mais à cause de mon laissé aller de ces dernières années et des kilos que j’avais pris avait finis par s’affaisser, je ne faisais plus vraiment d’effort pour séduire Fabrice depuis un certain temps déjà. Mais j’avais l’envie de me reprendre en main, il ne me manquait qu’un petit déclic, afin de sauver notre couple de l’ennui dans lequel il s’était enlisé.

C’est un soir d’avril pendant des vacances que j’avais prises, s’étant endormi devant la télé, qu'il reçut le sms suivant, d’un numéro qui n’était pas enregistré dans le répertoire :

« Dis à ta femme que tu travaille tard demain soir et retrouve-moi demain à 18h00 au bar de L’hôtel Club »

Je répondis que je serais présent à l’heure dite, et lui demandait de m’écrire à l’avenir sur un autre numéro (le mien) en prétextant que ce dernier était inconnu de ma femme. Je reçus quelques minutes plus tard qu’elle avait bien enregistré le numéro donné et effacé l’ancien.

Je jubilais intérieurement, non seulement j’avais eu la certitude que Fabrice me trompait mais en plus j’allais savoir avec qui. C’est ainsi que j’allais me coucher, mais il me fut difficile de trouver le sommeil, je me demandais bien comment elle pouvait être et comment pourrais-je la reconnaître…

Le lendemain matin à mon réveil, je téléphonais à Lucie qui était devenue ma coiffeuse pour savoir si elle pouvait me prendre dans l’après midi, je lui expliquais que c’était important elle me fixa rendez vous à 15h. Je partis en ville faire les boutiques afin de me trouver une tenue pour le rendez-vous du soir. Je voulais me montrer à mon avantage devant cette femme.

Après plusieurs boutiques je finis par trouver une jolie robe noire, avec un joli décolleté plongeant, légèrement fendue sur le coté et descendant jusqu’aux genoux qui me rendait assez sexy malgré mes kilos, j’achetais également une paire de bas et un ensemble culotte et soutien-gorge plutôt sexy, je comptais bien en faire profiter mon mari ensuite. J’entrais ensuite dans un magasin de chaussures, et achetais une paire d’escarpins à talons de 8cm.

Il faut préciser que je n’avais vraiment plus l’habitude de porter ce genre de choses, mon look habituel était plutôt jeans-baskets.

Je rentrais ensuite chez moi, et entrepris de m’épiler les jambes, la aussi j’avais du retard, je donnais en général un coup de rasoir à mes aisselles, mais je ne voyais pas trop l’utilité de me faire les jambes puisque je ne les montrais jamais. Je pris ensuite un bain afin de me détendre puis après m’être séchée je passais une lotion sur mon corps.

Il fut temps pour moi de m’habiller afin de me rendre au salon de Lucie, elle fut assez surprise de me voire arriver ainsi, après une bise elle prit ma veste et m’installait.

- Tu me laisse faire comme d’habitude, me dit-elle ?
- Oui ma chérie je te fais confiance, répondis-je
- Bien dans ce cas je te coupe juste les pointes ensuite quelques mèches rouges
- D’accord
- Ensuite je te maquillerai et m’occuperai de tes sourcils me dit elle.
- Si tu veux mais je te préviens j’ai rendez-vous à 18h
- Ne t’inquiète pas nous avons le temps.

Puis Lucie se mit au travail, bien sur elle me demanda ce que c’était se rendez-vous et je lui expliquais toute l’histoire, nous nous voyions bien moins que lorsque nous étions adolescente mais nous étions restées très complice toutes les deux. Lucie m’avait déjà prévenue à de maintes reprises que je me laissais aller et que Fabrice finirait par me tromper et peut-être même partir avec une femme plus jeune et plus jolie.

- Il est temps que tu te battes et que tu te reprennes en main, me dit-elle
- Oui c’est ce que j’ai commencé à faire, répondis-je.

Il était presque 17h30 quand elle eut terminée et qu'elle prit un miroir pour me montrer le résultat, la surprise fut totale je me reconnaissais pas moi-même. Je me levais et pris mon sac pour payer.

- C’est cadeau ma chérie je suis si contente que tu te reprennes en main, me dit-elle
- Merci, lui répondis-je en lui faisant la bise.

Puis partit en direction du rendez-vous, je ne savais toujours pas comment j’allais la reconnaître, je me pressais un peu pour ne pas arriver en retard. En plus mes pieds commençaient à souffrir dans mes nouveaux escarpins, je n’avais vraiment plus l’habitude de mettre ce genre de chaussure.
J’entrais dans le bar à 18h passée d’une ou deux minutes, mis à part quelques hommes installés au bar, Une femme était installée tout au fond du bar, en me voyant arriver elle se leva. C’est à ce moment que tout à basculé, dés cet instant je n’ai plus rien maîtrisé du tout.

J’étais comme envoûtée par cette femme magnifique brune typée méditerranéenne de grands yeux noirs et des cheveux de la même couleur, un peu plus grande que moi, je dirais 178 cm peut-être, plutôt bien proportionnée et une belle poitrine presque aussi grosse que la mienne mais visiblement bien plus ferme. Elle vint à ma rencontre, je sentais mon cœur qui battait de plus en plus fort, elle me regardait droit dans les yeux et lorsque nous fumes proches l’une de l’autre elle m’embrassa, surprise je me laissais faire et sa langue força ma bouche.

- Je suis Leyla, la Maîtresse de ton mari, me dit-elle assez sèchement
- Suis-moi, ajouta-elle

 

Chapitre I

Il me fut impossible de dire quoi que se soit, j’étais comme hypnotisée par ce qui venait de se passer et sans attendre une réponse de ma part, elle se dirigea vers la sortie, je ne pu faire autrement que de la suivre. Une fois sur le trottoir nous marchâmes quelques mètres pour arriver à sa voiture, je montais sans poser de questions, elle en fit autant puis bloqua les portes.

- Et bien tu as mis le paquet j’apprécie ! me dit-elle.
- Comment savez-vous qui je suis ? lui demandais-je.
- Pour le moment c’est moi qui pose les questions, pour commencer relève ta robe !

Je fis ce qu’elle demandait sans trop réfléchir, le ton était toujours aussi ferme.

- Maintenant retire ta culotte et donne la moi ! Ajouta-t-elle d’un ton ferme.

Malgré le fait qu'il y ait du monde dans la rue et que toute personne passant par la à ce moment la je m’exécutais à nouveau sans discuter. Il faut dire que de me sentir traitée ainsi avait provoquée une douce chaleur en moi, et ça faisait bien longtemps que je n’avais plus eu de telles sensations. Je sentais mon sexe s’humidifier.

Elle mis la voiture en marche, et roula sans rien dire de plus pendant un long moment, puis une dizaine de minutes, elle m’ordonna de ne plus serrer les cuisses, ce que je fis immédiatement, au point ou j’en étais sur le moment je crois que si elle m’avait demandée de me jeter à l’eau je crois que je l’aurait fait sans discuter, le temps me parut long, et la situation m’excitait de plus en plus.

Nous étions sorties de la ville depuis un bon moment, nous avions longés le bord du lac et traversé plusieurs villages, puis pris un chemin plus étroit légèrement en montée. Elle attrapa un petit boîtier et appuya sur un bouton puis ralentis, une grille s’ouvrait devant nous. Nous descendîmes de voiture, je découvris un jardin bien entretenu et entouré de hautes haie, un peu plus loin une piscine et enfin une villa assez moderne.

A peine entrée dans la villa, elle ouvrit une porte sur la droite,

- Entre la, déshabille toi et attends moi !

Puis elle referma la porte à clef, la pièce était assez sombre juste une petite lampe éclairait la pièce au fond, mais je pu voir un grand lit à barreaux ainsi qu'une table juste à coté, juste en face une télévisions fixée au mur et une autre porte donnais sur le mur d’à coté,

Je commençais à retirer mes vêtement un a un et les déposais sur le lit, puis je m’assis et patienta, j’aurais bien pris mon mobile pour passer le temps, mais je me rendis compte que j’avais laissé mon sac dans la voiture. Je ne sais combien de temps je suis restée la, l’excitation montait de plus en plus.
A un certain moment la seconde porte s’ouvrit, Et Leyla entra elle s’entait changée et portait une robe longue noir en cuir, la matière moulait parfaitement ses jolies formes, elle avait attachée ses longs cheveux et mis des lunettes ce qui lui donnait un air plutôt sévère, et j’en frissonnais.

- Amène-toi !

J’entrais dans une salle de bain magnifique, un grand jacuzzi, une douche deux vasques deux fauteuils en rotin, une table de massage sur le quel elle me fit allonger, ainsi que de grands miroirs sur tous les murs.

- Je vais commencer par t’épiler, ce n’est pas possible d’avoir une telle touffe

Je n’osais pas lui dire que je ne m’étais jamais épilée à cet endroit la, et encore une fois je la laissais faire, elle a bien du se rendre compte que j’étais excitée en passant sa main de couper grossièrement les poils aux ciseaux avant d’appliquer la mousse à raser partout sur mon pubis et autour de mon sexe

- Détends toi et ne bouge pas, je ne voudrais pas te couper !

J’écartais les cuisses encore un peu plus et me laissait faire, ce n’était de loin pas désagréable, surtout que pour passer partout elle n’hésita pas à tirer un peu sur mes lèvres et à les écarter ensuite, elle en profita pour y enfiler deux doigts.

- Mais tu mouille comme chienne décidément, j’étais loin de me douter que ça serait aussi facile.

Elle passa les dernier coups de rasoir puis une lingette hydratante sur ma peau fraîchement rasée, avant d’y enfiler à nouveau ses doigts et de me pénétrer ainsi jusqu'à un fulgurant orgasme et elle n’a pas eu besoin d’insister longtemps, comme je l’ai expliqué des orgasmes j’en ai pas eu souvent dans ma vie mais des comme ça jamais c’est une certitude.

Elle portât ensuite ses doigts pleins de ma mouille à ma bouche, la encore je découvrais mon goût pour la première fois, et c’était loin d’être désagréable. Elle passa un dernier coup de lingette sur mon sexe avant de me dire de retourner dans la pièce d’à coté de l’attendre à genoux.

Cette fois elle se fit attendre beaucoup moins longtemps, elle n’avait même pas refermée la porte, elle entra à nouveau dans la pièce, avec une petite mallette dans une main et une cravache dans l’autre. Elle les déposa sur le lit et ouvrit la mallette, en sortit un collier.

- « Ce collier sera la signe de ton appartenance envers moi, si tu l’accepte tu le porteras en permanence, seule moi pourrai te le retirerai, tu m’appartiendras corps et âme, tu n’aura plus aucun droit mais des devoirs envers ta nouvelle Maîtresse, et tous manquements à ceux-ci seront punis sévèrement, seul moi pourrais te rendre ta liberté sans aucun besoin de justifications »

- « Je te laisse quelques minutes pour réfléchir, si tu n’accepte pas ma proposition, tu pourras te rhabiller et je te ramènerai chez toi immédiatement, tu n’entendras plus jamais parler de moi »

 

Surprise!!! 

Par ben - Publié dans : Histoires à bander debout
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